Le respect d’un scénario 2°C voulu par l’Accord de Paris va avoir un impact majeur sur l’outil de raffinage mondial. Environ 25 % des raffineries deviendront non viables en raison de la nécessaire baisse de consommation de pétrole en 2035. Et à ce jeu, c’est l’Europe qui va perdre le plus, au point de mettre en péril sa sécurité d’approvisionnement en produits raffinés.