Après le greenwashing des années 2000 et le social washing plus récent, il faut se méfier d’une pratique qui consisterait à utiliser les logos des ODD des Nations Unies pour promouvoir la durabilité sans faire finalement grand-chose pour la société en général, voire même générer des impacts négatifs forts alors qu’on croit développer des actions positives.
Via Dolores LARROQUE