Most of us will do anything to avoid being wrong. But what if we're wrong about that? "Wrongologist" Kathryn Schulz makes a compelling case for not just admitting but embracing our fallibility.
Via John Evans
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This sounds reasonable.
Pour moi, cette conférence est un message invitant à se poser la question suivante :"Quelle est ma capacité réelle à questionner mes propres croyances, opinions et valeurs?". Cette question pourrait probablement venir plus facilement à l'esprit grâce à des difficultés vécues dans sa relation avec le monde extérieur, son entourage, son travail, sa communication avec les autres, etc. Mais quand tout semble bien aller? Se la poser, relève pour moi non seulement d'une sorte d'humilité mais aussi du courage, car la réponse peut bouleverser les repères et provoquer l'inconnu.
Les périodes de chômage, de transition entre deux carrières ou de doutes sur sa vocation professionnelle, sont pour la vie professionnelle ces fenêtres ouvertes propices à explorer ce qui ne va pas en soi au présent.
Why being 'wrong' and making mistakes is so vitally important.