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L' #EtatIslamique (O. Hanne, T. Flichy de la Neuville) - Note de lecture par #MichelDrac - 33 mn #Daech #EI

L' #EtatIslamique (O. Hanne, T. Flichy de la Neuville) - Note de lecture par #MichelDrac - 33 mn #Daech #EI #israel #Iran #arabiesaoudite #qatar #Syrie #Irak #Turquie #Terrorisme #Djihad #Djihadisme

 

Une note de lecture sur "L'Etat islamique, anatomie du nouveau Califat", de MM. Hanne et Flichy de la Neuville

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Audio 10 mn : M #Erdogan rencontre les leaders de l'opposition en #Turquie ... - #arbitraire #autocratie

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Audio 10 mn : M #Erdogan rencontre les leaders de l'opposition en #Turquie ... - #arbitraire #autocratie

Dix jours après le putsch et quatre jours après la mise en place de l'état d'urgence en Turquie, l'opposition a réuni dimanche plus de 100'000 personnes pour dénoncer le putsch et soutenir une Turquie démocratique. Le président Recep Tayyip Erdogan a convoqué ce lundi les leaders de l'opposition. Interview d'Atila Özer, philosophe et écrivain franco-turc.

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Audio 7 mn RTS : Qui est #FetthulahGülen, l'ombre qui plane sur le coup d'Etat avorté en #Turquie?

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Audio 7 mn RTS : Qui est #FetthulahGülen, l'ombre qui plane sur le coup d'Etat avorté en #Turquie?

Le président turc Recep Tayyip Erdogan se dit persuadé que Fetthulah Gülen, leader turc musulman exilé aux Etats-Unis depuis 1999, et ses adeptes ont fomenté le putsch raté. Interview de Jean-François Bayart, professeur au Graduate Institute à Genève, auteur de "L'Islam républicain" (Albin Michel).

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à écouter! - #GabrielGalice ,président du #GIPRI - 22 mn RTS- #Nice #Turquie #Syrie #Russie #Terrorisme

à écouter! - #GabrielGalice ,président du #GIPRI - 22 mn RTS- #Nice #Turquie #Syrie #Russie #Terrorisme | Infos en français | Scoop.it

à écouter! - #GabrielGalice,président du #GIPRI - 22 mn RTS- #Nice #Turquie #Syrie #Russie #Terrorisme #Géopolitique #France #Libye #ArabieSaoudite #USA

Quelles leçons retenir de l'attentat de Nice, qui a fait 84 morts jeudi dernier lors de la fête du 14 Juillet sur la Promenade des Anglais? Quelle doit être la réponse politique à la menace terroriste? Y a-t-il un moyen efficace d'y répondre? Politologue et économiste, Gabriel Galice est président de l'Institut international de recherches pour la paix (GIPRI) à Genève.

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Quand les organes d’enfants #Algérie se retrouvent en #israel - #Santé #DroitInternational #Syrie #Turquie

Quand les organes d’enfants #Algérie se retrouvent en #israel - #Santé #DroitInternational #Syrie #Turquie | Infos en français | Scoop.it

Quand les organes d’enfants #Algérie se retrouvent en #israel - #Santé #DroitInternational #Syrie #Turquie

Selon Alison Weir (*) (**) que j’ai récemment interviewée et qui a publié un long article consacré au rôle d’Israël dans le trafic international d’organes humains dans If Americans knew en septembre 2009, l’État criminel d’Israël a un grand besoin d’organes, ses ressortissants étant peu enclins à faire don de leurs reins, leur foie, leur cœur ou leurs yeux pour des « raisons religieuses ».

Un vaste trafic d’organes à l’échelle mondiale a donc été mis en place, et ce, depuis de nombreuses années, avec l’accord tacite des autorités qui refusent de sanctionner le trafic illégal d’organes humains et la complicité des médecins occupant des postes de direction dans les hôpitaux israéliens, ainsi que des fonctionnaires à différents niveaux.

Le trafic d’organes humains auquel se livre l’État d’Israël en Palestine, spécialement sur des prisonniers et des citoyens palestiniens assassinés par cette entité criminelle, n’est plus un secret, plusieurs journaux européens et américains en ayant fait état, comme le Washington Report on Middle East Affairs en 1999 dans l’article « Autopsies et exécutions » rédigé par la journaliste Mary Barrett et qui relate la disparition et l’assassinat de jeunes Palestiniens, ou encore le grand quotidien suédois Aftonbladet qui a publié une enquête détaillée de son journaliste Donald Boström en 2009; et le New York Times en août 2014 qui évoquait les principales affaires de trafic d’organes depuis 2000, affirmant que des Israéliens occupaient un « rôle prépondérant » dans ces trafics. En Palestine occupée, de plus en plus de jeunes Palestiniens disparaissent, leurs corps étant rendus à leur famille après plusieurs jours, toujours pendant la nuit, l’électricité coupée et la zone bouclée, pendant que l’armée israélienne surveille l’enterrement immédiat des victimes dont l’abdomen comporte une large cicatrice allant du menton jusqu’au pubis.

L’armée israélienne prétend qu’une autopsie est toujours pratiquée, ce qui est faux puisque certaines victimes sans doute jugées impropres au don d’organes ont été rendues intactes à leur famille. Il arrive également que des touristes décédés en Israël servent de donneurs involontaires comme dans le cas de l’Écossais Alistair Sinclair, mort en 1998 dans des circonstances non élucidées alors qu’il était en garde à vue à l’aéroport Ben Gourion de Tel Aviv. Lorsque sa famille a pu récupérer le corps, le cœur et d’autres organes manquaient. La famille a porté plainte contre l’État d’Israël et a récupéré les organes sans être sûre qu’ils appartenaient bien à leur parent décédé, les autorités israéliennes ayant refusé de pratiquer les examens requis pour authentifier la provenance des organes.

Les ramifications du trafic d’organes se sont étendues et se trouvent partout dans le monde, dont notamment en Ukraine où serait impliqué l’ancien président géorgien et actuel gouverneur d’Odessa Mikheil Saakashvili; au Brésil où un ancien officier de police israélienne persuadait les plus pauvres de vendre un de leurs reins, organes qui étaient transplantés dans un hôpital d’Afrique du Sud sur des Israéliens qui bénéficiaient pour cette opération du remboursement de la caisse d’assurance-maladie, et aux États-Unis.

Les tentacules se sont étendues depuis à la Turquie, véritable plaque tournante de tous les trafics en provenance de l’Irak et de la Syrie dévastés : pétrole, antiquités et organes humains étant fournis par l’organisation terroriste Daech qui alimente le marché israélien et mondial.

Dans son article, Alison Weir relate qu’une enquête du FBI réalisée en 2009 aux États-Unis a permis d’effectuer une grande rafle anti-corruption dans l’État du New Jersey, visant des maires, des hauts fonctionnaires et un certain nombre de rabbins éminents. Le rabbin orthodoxe Levy Yitzhak Rosenbaum, originaire de Brooklyn, avait été arrêté à cette occasion comme étant à la tête d’un réseau de trafic d’organes depuis de nombreuses années. Cette vaste opération qui avait mobilisé plus de 300 agents portait de nom de Bid Rig et avait permis l’arrestation de quarante-quatre personnes, dont cinq rabbins, trois maires, et vingt-six élus et fonctionnaires locaux.

D’après un article d’El-Khabar paru lui aussi en 2009, M. Rosenbaum avait reconnu avoir étendu les tentacules de son réseau au Maghreb et notamment en Algérie où des rapts d’enfants dans l’Ouest algérien permettaient d’envoyer les organes prélevés sur ces enfants aux USA ou en Israël pour une somme allant de 20 à 100 000 dollars US. Le professeur Mustapha Khayati, président de l’organisme algérien national pour promouvoir la santé et le progrès, avait alors déclaré que le dossier de démantèlement du réseau international découvert à New Jersey et lié à la ville de Tlemcen comptait des Algériens, des Marocains, et des Africains, tous spécialistes d’enlèvement d’enfants. Ils kidnappaient des enfants algériens et les exfiltraient à travers la frontière avec le Maroc, l’enquête diligentée en collaboration avec Interpol ayant découvert le lieu où les opérations d’extirpation des organes se faisaient, à savoir à Oujda au sud du Maroc.

Or, en 2016, il apparaît que la nébuleuse israélienne poursuit ses activités criminelles en Algérie en enlevant à nouveau des enfants pour prélever leurs organes, le phénomène de disparition ne cessant d’augmenter. En effet, via un communiqué publié en mai dernier, la police algérienne, la DGSN, a fait part du démantèlement d’un réseau composé de cinq Israéliens qui ont été interpellés à Oran pour trafic d’organes.

Cette information est d’une gravité sans précédent, car comment des Israéliens ont-ils pu à nouveau organiser tout un réseau de trafic d’organes dans un pays comme l’Algérie où les différents services de sécurité sont très efficaces et en alerte constante ? Cela pose beaucoup de questions car le fait n’est pas nouveau comme relaté plus haut.

On se demande comment a resurgi chez nous le phénomène extrêmement préoccupant du rapt d’enfants dont certaines de nos sources nous confirment qu’il est organisé via les différents réseaux criminels qui se sont restructurés. Nous sommes très loin de la thèse des enlèvements isolés fomentés par des individus déséquilibrés, mais bien face à une organisation dont les activités, d’après la DGSN, s’étalent entre 2013 et 2016.

Cette période a effectivement connu une multiplication d’enlèvements et des cas de disparitions d’enfants algériens sans que personne n’analyse les faits, alors que tous les éléments nous mènent vers la piste du trafic d’organes qui s’étale du territoire de la Palestine en passant par l’Irak et la Syrie et en aboutissant en Algérie. Si dans le cas algérien, peu d’informations filtrent à ce sujet, excepté ce démantèlement à Oran, en Palestine occupée, c’est un phénomène très connu et révélé par diverses organisations et personnalités, comme la lettre de l’ambassadeur palestinien aux Nations Unies Riyad H. Mansour adressée à Ban Ki-Moon le 4 novembre dernier. C’est valable pour la connexion Daech-Israël où toutes les pistes mènent vers la Turquie qui sert de point de vente et dont les hôpitaux transplantent aux receveurs les organes prélevés sur des Irakiens et des Syriens par Daech.

Que fait Afripol dont le siège est à Alger, sachant qu’Interpol travaille sur ce dossier depuis 2009, et que le trafic d’organes s’étend du New Jersey à Durban en Afrique du Sud où sont pratiquées des transplantations sur des riches Israéliens, en passant par l’Algérie et le Maroc ? Si s’attaquer au terrorisme est très important, ce phénomène est plus que jamais interpellant et prioritaire. Un tel trafic ne peut exister sans avoir de nombreuses complicités à l’intérieur du pays.

Quel est le rôle des Israéliens qui font leur pèlerinage à Tlemcen ou des Pieds Noirs qui se baladent à leur gré en Algérie ? De quelle stabilité parle le clan Bouteflika quand nos enfants sont kidnappés pour servir de pièces de rechange à de riches vieillards, que le trafic de cannabis en provenance du Maroc se chiffre en dizaines de tonnes et dont certaines filières sont utilisées dans le trafic d’organes, et que notre armée lutte chaque jour contre des réseaux terroristes ?

Ce fait très préoccupant de disparitions d’enfants que connaît l’Algérie depuis quelques années liées au trafic des organes humains à un moment où Israël est à la pointe de ce vaste trafic mondial nous interpelle tous en tant que citoyens. Plus encore, tous nos services de sécurité doivent combattre ce fléau en établissant également une nouvelle stratégie de communication pour aider à l’endiguer. Il est indispensable de travailler sur des formules du type alertes telles que les ICE sur les téléphones portables, acronyme de in case of emergency qui sert à alerter les proches en cas d’urgence, un organisme centralisé s’inspirant de Child Focus permettant de lancer une alerte dans tout le pays concernant les enfants disparus, et ce, dès les premiers moments de la disparition avec entre autres une vaste campagne d’affichage, et enfin mettre à contribution les réseaux sociaux et tous les médias qui restent muets sur ce sujet.

Au lieu de bloquer les réseaux sociaux sous des prétextes fallacieux, ces outils peuvent être très importants pour relayer l’information et les alertes. Bien entendu, ces options ne peuvent pas régler le problème en soi mais en tous cas lancer des alertes au plus tôt et faire appel aux témoins; il est surtout urgent de déterminer les complicités en Algérie et de les mettre hors d’état de nuire, car nos sources confirment en effet que ce trafic jouit d’une complicité à un niveau élevé.

Si les Palestiniens qui subissent l’oppression israélienne ne peuvent rien faire étant entre les mains de leurs bourreaux, ces agissements se passant souvent dans des endroits bien sécurisés par les services de renseignement israéliens, en Algérie, toutes nos ressources militaires et civiles doivent être utilisées pour éradiquer ce phénomène qui est en train de devenir un véritable fléau qui chaque jour voit des kidnappings et des disparitions d’enfants dans différentes régions du pays, ce qui prouve que cette ou ces organisations sont très structurées.

Le rôle de nos services de renseignement et de sécurité n’est pas seulement de frapper cette nébuleuse, mais de mettre en place une stratégie de prévention en agissant par anticipation, quitte à créer des brigades spécialisées pour contrer le trafic d’organes. Il s’agit d’une menace qui n’est pas à sous-estimer.

En outre, il faut aussi mettre en place des organismes de communication et de coordination au sein de la gendarmerie, de la police et de l’ANP afin d’être efficace face à ces organisations qui, d’après nos sources, sont liées à la mafia israélienne, une mafia dont les attaches aux différents services de renseignement israéliens sont avérées. Il est intolérable que les organes des enfants algériens soient utilisés pour alimenter le marché israélien des organes. Il faut stopper cette énième dérive et chacun est responsable du sort de nos enfants.

Bien sûr, il faut se poser la question sur l’existence d’un tel fléau et comment il a pu se développer en Algérie dans ces moments où notre pays vit une crise politique aiguë avec un pouvoir politique irresponsable. Il faut aujourd’hui un pouvoir sérieux qui prend en compte cette question qui menace notre société dans ce qu’elle a de plus cher, c’est-à-dire ses enfants. Fermer les yeux ne pourra qu’intensifier ce trafic, sachant que nous avons des frontières qui sont des épicentres en servant de zones de vente d’organes. La vigilance est de mise et il faut disposer d’une véritable stratégie pour contrer le trafic d’organes exercé par Israël sur le sol de l’Algérie, et traquer ces réseaux sans relâche comme notre armée traque Daech et les groupes terroristes.

Mohsen Abdelmoumen |  23 juin 2016

(*) http://arretsurinfo.ch/israel-et-la-collecte-dorganes-diffamation-legende-ou-crime-de-guerre/

(**) http://arretsurinfo.ch/sept-personnes-inculpees-pour-trafic-dorganes-destines-a-des-malades-israeliens/

Lire aussi: http://arretsurinfo.ch/israel-restituerait-avec-des-organes-manquants-les-corps-de-jeunes-palestiniens/ et http://www.info-palestine.net/spip.php?article12214

http://www.fredi.org/conseils_preventions/accusation-de-trafic-dorganes-en-israel/

Source:http://mohsenabdelmoumen.over-blog.com/2016/06/quand-les-organes-des-enfants-algeriens-se-retrouvent-en-israel.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail 

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Audio RTS 9 mn : #Réfugiés : l’accord entre l’ #UE et la #Turquie dans une impasse #égoïsmes

Audio RTS 9 mn : #Réfugiés : l’accord entre l’ #UE et la #Turquie dans une impasse #égoïsmes | Infos en français | Scoop.it

Audio RTS 9 mn : #Réfugiés : l’accord entre l’ #UE et la #Turquie dans une impasse #égoïsmes

Le pacte migratoire entre l’Union Européenne et la Turquie pour stopper l’arrivée massive de réfugiés syriens vers la Grèce a du plomb dans l’aile. Le Parlement européen refuse notamment de supprimer les visas pour les Turcs, un point crucial de l’accord selon Ankara. Interview de Gérard Deprez, député européen belge membre de l’Alliance des Démocrates et des Libéraux.

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Mecanopolis rend hommage à Claude Covassi et s'interroger sur les circonstances de son décès

Mecanopolis rend hommage à Claude Covassi et s'interroger sur les circonstances de son décès | Infos en français | Scoop.it

"Hier, dans la matinée du dimanche 10 février, j’ai non seulement appris la mort de mon ami, mais également qu’il consommait de la cocaïne. « Il a été retrouvé chez lui, mort dans son lit. Selon la police genevoise, son décès serait imputable à une overdose de cocaïne. » Je savais que cela lui arrivait de boire, je me disais un peu comme tout le monde après une longue semaine de boulot, mais jamais il ne m’a laissé entrevoir qu’il touchait à cette drogue.

Claude Covassi utilisait souvent Clovis Casadue, anagramme de ses nom et prénom, pour signer des articles. Il l’utilisait également pour l’un de ses comptes Facebook. Sur celui-ci, Laurent Leisi, conseiller municipal MCG de la ville de Genève, a déclaré « Claude avait de nombreux projets, dont un particulier et sensible qu’il souhaitait me présenter, je devais manger avec lui jeudi passé a midi, il n’est pas venu et j’ai mis ça sur le compte d’un emploi du temps trop chargé ! Je reste donc songeur sur la cause accidentelle de son décès. »

Deux de ses connaissances m’ont confirmé que Claude ne touchait pas à la cocaïne. Laurent Leisi m’a confié, « Je l’ignorais également. Quelqu’un de proche était-il au courant de cette addiction supposée ? Il ne m’en a jamais parlé et ne m’a jamais semblé être consommateur. »

Jean-Alexandre Blanchet était un autre proche de Claude, et est persuadé qu’il ne consommait pas de cocaïne. Il m’a confié, « Claude fumait trop sans doute. Il aimait bien picoler. Trop sans doute aussi mais rien d’autre à ma connaissance. »

Alain Benajam tra..."

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Cinquantaine de bombes nucléaires #US stockées dans une base en #Turquie à 2 pas de la frontière avec la #Syrie

Cinquantaine de bombes nucléaires #US stockées dans une base en #Turquie à 2 pas de la frontière avec la #Syrie | Infos en français | Scoop.it

je vous le dis .. être atlantiste c'est militer pour la sécurité mondiale .. vive l' #OTAN, vive l'Empire .. 

je vais aller à l'ONU, tel Colin Powell, pour demander de déclarer la guerre aux USA car ils stockent des armes de destruction massives dans des pays étrangers ...

sauf que là, c'est vrai ..

ah, j'oubliais, je suis con, les USA ont le droit d'exercer la violence où bon leur semble

 

Cinquantaine de bombes nucléaires #US stockées dans une base en #Turquie à 2 pas de la frontière avec la #Syrie - RFI

Publié le 15-08-2016 Modifié le 15-08-2016 à 13:56

Ces armes sont entreposées dans la base aérienne d'Incirlik à une centaine de kilomètres seulement de la frontière syrienne. Et lors du coup d'Etat manqué du 15 juillet dernier contre Reccep Tayyip Erdogan, cette base a été pendant plusieurs heures coupée du monde.

Que ce serait-il passé si la tentative de coup d'Etat du 16 juillet avait réussi, et si une guerre civile avait éclaté en Turquie ? Cette question, un groupe de réflexion américain la pose dans un rapport consacré à l'arsenal nucléaire américain en Europe.

Le rapport du Stimson Center relève que le soir du coup d'Etat l'électricité a été coupée durant plusieurs heures sur la base, et que le commandant turc de la base d'Incirlik - qui accueille aussi les avions américains qui bombardent l'EI en Syrie-, a été ensuite placé sous les verrous pour sa participation supposée au coup de force manqué. « Stocker plusieurs dizaines d'armes nucléaires sur cette base revient à jouer à la roulette russe », estiment les auteurs du rapport.

Le rapport pointe aussi le risque de voir cet arsenal tomber dans les mains de terroristes ou d'autres forces hostiles aux Etats-Unis. « Les garde-fous existent » reconnaît le Stimson Center, « mais dans le cas d'un coup d'Etat on ne peut pas dire avec certitude que nous aurions été capables de garder le contrôle ».

Interrogé sur cette question le Pentagone assure avoir pris les mesures appropriées pour assurer la sécurité des installations. Outre l'arsenal stocké dans cette base turque d'Incirlik, des dizaines d'armes nucléaires américaines ont été entreposées dans plusieurs pays européens membres de l'Otan : en Belgique, en Italie, en Allemagne ou encore aux Pays-Bas. Il faut cependant rappeler qu'en mars dernier déjà le Pentagone a ordonné, pour raisons de sécurité, l'évacuation des familles de militaires et du personnel civil stationnés dans le sud de la Turquie.

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Le calvaire des réfugiées de #Syrie en #Turquie - Reportage-L'Orient Le Jour- #refugiés #migrants #refugees #Turkey

Le calvaire des réfugiées de #Syrie en #Turquie - Reportage-L'Orient Le Jour- #refugiés #migrants #refugees #Turkey | Infos en français | Scoop.it

Le calvaire des réfugiées de #Syrie en #Turquie - Reportage-L'Orient Le Jour- #refugiés #migrants
#refugees #Turkey

Reportage

De plus en plus de femmes se résignent à se marier avec un Turc, dans l'espoir de sortir de la misère.

22/07/2016

Les réfugiées syriennes ayant fui la guerre qui fait rage dans leur pays n'auront pas trouvé dans les pays d'accueil la sécurité et la paix espérées. Aujourd'hui, elles se retrouvent confrontées à une dure réalité et sont nombreuses à être exploitées par des individus sans scrupules.

En Turquie, l'un des pays qui accueillent le plus de réfugiés syriens, près de 75 % des 2 800 000 réfugiés sont des femmes et des enfants. Selon une étude réalisée par l'organisme de gestion des urgences et des catastrophes, une réfugiée syrienne sur trois en Turquie a perdu un proche. De nombreuses Syriennes se sont ainsi trouvées contraintes de se mettre à la recherche d'un emploi à cause de la perte d'un soutien financier et de la hausse du nombre d'enfants de moins de 18 ans.

 

Originaire d'Alep, Tamara, une jeune de 18 ans, a perdu son père, tué par les combattants de l'État islamique fin 2013. Au début de l'année suivante, après des raids au baril explosif du régime syrien sur sa ville, elle s'est donc réfugiée à Gaziantep, en Turquie, avec quatre membres de sa famille. « En venant en Turquie, on pensait rester quelques mois tout au plus, avant de pouvoir rentrer chez nous à Alep. Mon frère a décidé de chercher du travail pour subvenir à nos besoins. Mais nous avons vite réalisé que son salaire ne suffirait pas pour payer le loyer, les factures d'électricité et d'eau, entre autres ». Pour aider sa famille, Tamara se met à son tour à la recherche d'un emploi, qu'elle finit par obtenir dans un petit atelier de couture. Elle travaille plus de 12 heures par jour, pour un salaire mensuel de 160 dollars. « Peu importe les longues heures de travail et le salaire dérisoire. Ce qui me peine le plus, ce sont les insultes, les mauvais traitements et les coups. » La jeune femme dénonce également l'absence de lois efficaces pour protéger les travailleurs syriens.

Les cas d'abus sont nombreux, affirme-t-elle, et de nombreux employeurs n'hésitent pas, par exemple, à refuser de signer un contrat de travail. Quant à l'annonce, début juillet par le président Recep Tayyip Erdogan, que les réfugiés syriens présents sur le sol turc pourraient, s'ils le souhaitent, obtenir la nationalité turque, Tamara n'y accorde pas d'importance. « À quoi servirait la nationalité turque aux Syriens ? Pour les Turcs, on sera toujours des réfugiés. Que la guerre cesse pour que nous puissions rentrer chez nous. »

 

 

Mariages mixtes
C'est dans ce contexte que de nombreux médias turcs ont fait état d'un phénomène grandissant, notamment dans le sud-est du pays, où sont présents de nombreux réfugiés : les mariages mixtes entre réfugiées syriennes et citoyens turcs. Très souvent, ces réfugiées deviennent la seconde épouse, en dépit du fait que le droit turc ne permet pas la polygamie. Ces mariages mixtes sont contractés pour diverses raisons, dont le fait qu'une Syrienne a moins de droits qu'une Turque. Baraa, 26 ans, est une jeune femme originaire d'Alep. Elle était enceinte de sa fille, qui aujourd'hui a trois ans, lorsque son mari Mohammad disparaît dans une zone contrôlée par le régime fin 2012. « Je suis venue en Turquie début 2014 avec ma mère, lorsque les bombardements visant Alep sont devenus trop difficiles à supporter. Quand mes trois frères n'ont plus été capables de subvenir à mes besoins – eux aussi ont des familles à soutenir –, j'ai dû trouver un emploi dans une usine de confiserie, payé 215 dollars par mois. Je travaille 16 heures par jour pour joindre les deux bouts. Je suis restée un an dans cette situation. Je ne voyais plus ma mère ni ma fille, qui dormait quand je partais au travail et quand je rentrais le soir. Au bout d'un an, j'ai rencontré un Turc de 43 ans, qui m'a proposé de l'épouser. De nombreuses filles avaient refusé de l'épouser parce qu'il est étroit d'esprit et maltraite les femmes. J'ai dû accepter, ayant trop peur de ce que l'avenir me réserve. Un mois après notre mariage, il a rompu sa promesse et a refusé d'élever ma fille car elle n'est pas la sienne. » Baraa affirme souffrir du comportement jaloux et violent de son mari, qui la prive souvent des visites de sa mère. Elle rêve du jour où elle tombera enceinte, espérant que la paternité adoucira son mari, qui permettra alors peut-être à sa fille de revenir vivre avec eux.

 


Selon la sociologue turque Amina Konak, la plupart de ces épouses syriennes finissent comme « femmes de ménage » chez la première épouse turque, donc ce genre de mariage d'intérêt, qui représentent un « sacrifice » pour ces jeunes femmes, est voué à l'échec.
Plusieurs campagnes de sensibilisation ont été menées par des organisations syriennes et turques pour défendre les droits des épouses syriennes dans la société turque. D'autres organisations et associations ont également lancé des projets d'artisanat dans les camps de réfugiés pour faire travailler les femmes, sans toutefois obtenir de résultats satisfaisants, en raison du départ de la majorité de ces femmes des camps turcs.

 

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Audio 10 mn RTS : Comment la population vit-elle la situation post-coup d’Etat raté en #Turquie ? #Gulen #CIA

Audio 10 mn RTS : Comment la population vit-elle la situation post-coup d’Etat raté en #Turquie ? #Gulen #CIA | Infos en français | Scoop.it

Audio 10 mn RTS : Comment la population vit-elle la situation post-coup d’Etat raté en #Turquie ? #Gulen #CIA

La purge continue en Turquie, où 15’000 fonctionnaires de l'éducation ont été suspendus. Le président Recep Tayyip Erdogan ne s'est toujours pas rendu dans la capitale, Ankara, préférant multiplier les apparitions dans son fief d'Istanbul. Interview de Mine Kirikkanat, éditorialiste au quotidien de centre-gauche Cumhuryiet.

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Audio: Les motifs du #coupdEtat raté en #Turquie restent flous - RTS - 8 mn

Audio: Les motifs du #coupdEtat raté en #Turquie restent flous - RTS - 8 mn | Infos en français | Scoop.it

Audio: Les motifs du #coupdEtat raté en #Turquie restent flous - RTS - 8 mn

La Turquie a été le théâtre d'un indescriptible chaos dans la nuit de vendredi, avec des scènes de guerre au cœur des villes d'Istanbul et d'Ankara. Le calme est revenu mais le bilan est lourd, avec plus de 260 morts. Enormément de questions se posent désormais autour des motifs de ce putsch. Interview d'Emre Demir, rédacteur en chef de Zaman, un journal d'opposition franco-turc.

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itw #BrunoJochum , dir gén #MSF qui renonce aux dons de l' #UE pour dénoncer sa politique migratoire -RTS 5 mn

itw #BrunoJochum , dir gén #MSF qui renonce aux dons de l' #UE pour dénoncer sa politique migratoire -RTS 5 mn | Infos en français | Scoop.it

itw #BrunoJochum , dir gén #MSF qui renonce aux dons de l' #UE pour dénoncer sa politique migratoire -RTS 5 mn

L'ONG Médecins sans Frontières a décidé vendredi de renoncer à tout financement de l'Union européenne et de ses Etats membres, pour dénoncer leur politique migratoire "honteuse". Interview de Bruno Jochum, directeur général de MSF.

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Plus de 100 personnes (  #kurdes ) auraient été brûlées vives en #Turquie (par l'armée ) - ATS 10052016 #Erdoganistan

Plus de 100 personnes (  #kurdes ) auraient été brûlées vives en #Turquie (par l'armée ) - ATS 10052016 #Erdoganistan | Infos en français | Scoop.it

Plus de 100 personnes (kurdes) auraient été brûlées vives en #Turquie (par l'armée ) - ATS 10052016 #Erdoganistan

L'ONU s'alarme de la situation à Cizre, dans le sud-est de la Turquie, où plus de 100 personnes auraient été brûlées vives récemment. Le Haut Commissaire aux droits de l'homme demande des investigations indépendantes.


De plus en plus d'éléments venant de sources crédibles montrent une action "extrêmement alarmante" des forces de sécurité durant le couvre-feu entre mi-décembre et mi-mars, a indiqué mardi à Genève Zeid Raad al-Hussein. Plus de 100 personnes auraient être brûlées vives dans trois sites.


M. Zeid a aussi reçu des éléments sur des exécutions de civils non armés par des tireurs embusqués ou des véhicules militaires. D'autres évoquent des destructions ou des occupations d'habitations, de la torture et d'autres mauvais traitements.

Ces allégations sont "extrêmement sérieuses" et demandent des investigations indépendantes, affirme le Haut Commissaire. La Turquie n'a pas répondu au souhait de l'ONU de pouvoir constater la situation dans la région.


Centaines de milliers de déplacés


M. Zeid condamne les actes terroristes de groupes affiliés au Parti des travailleurs kurdes (PKK). Mais les autorités doivent respecter les droits de l'homme et interdire la torture, les exécutions extrajudiciaires, l'utilisation disproportionnée d'armes léthales et les détentions arbitraires.


Selon des estimations, la situation a provoqué le déplacement de centaines de milliers de personnes. Aucun élément n'a été donné sur des zones comme Silopi, Nusaybin et la région de Diyarbakir, bouclées pendant plusieurs semaines par les forces de sécurité. Ce manque d'indications est "profondément inquiétant", affirme également M. Zeid qui demande à nouveau l'accès à cette région.


Il appelle aussi les autorités turques à garantir le retour des personnes qui ont été forcées à se déplacer. Elles doivent à l'avenir limiter la durée des couvre-feu et respecter leurs obligations humanitaires et en matière de droits de l'homme.


M. Zeid avait déjà demandé début février une enquête après la diffusion d'une vidéo qui montrait l'exécution d'un groupe de personnes non armées à Cizre. Des activistes kurdes et l'opposition avaient respectivement accusé le gouvernement d'avoir tué 300 kurdes et d'avoir perpétré un "massacre" qui avait été démenti par les autorités.


(ats / 10.05.2016 11h50)

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